Il faut dire que la multiplication des augmentations de capital depuis une douzaine d'années les a vus souscrire massivement et ravaler les associés issus du grand public à la condition de faire-valoir.
L'incidence de la forte dilution, répétitive et cumulée, qui en a résulté a été imparable s'agissant du résultat par part, faisant de cette SCPI un cas à étudier.
Compte-tenu du pourcentage considérable de parts détenues par les investisseurs institutionnels, il est à souhaiter que ceux-ci s'appliquent une automodération dans la distribution de leurs votes lors de l'élection des membres du conseil de surveillance.
A défaut, le pluralisme dudit conseil risque de ne plus être qu'un vain mot., comme dans trop de SCPI.
Il serait même souhaitable qu'ils s'abstiennent de candidater pour libérer des postes, ayant bien d'autres moyens de préserver leurs intérêts.
Après l'élection, ce point semble à examiner particulièrement, afin d'évaluer ce qu'il en sera.
A cette heure, l'avenir semble tracé et ne manque pas d'inquiéter, alors que les fondammentaux ne sont pas - significativement - en cause.